Psychologie de la performance
Les services de psychologie de la performance permettent de faciliter le développement des habiletés mentales, émotionnelles et comportementales portant sur la pratique de divers sports. Le psychologue enseigne des techniques et travaille au développement des attitudes qui permettent de maximiser les performances.
Les athlètes de tous les niveaux nous consultent pour :
– atteindre leur plein potentiel dans le sport comme dans la vie
– apprendre à mieux gérer leur niveau de stress et leurs émotions
– se préparer mentalement à la compétition
– gérer la défaite de façon constructive
– rehausser le travail d’équipe
– augmenter la confiance en soi
– améliorer le focus
*À noter que des sessions sont également offertes pour les parents d’athlètes
Clients Satisfaits :
L’Équipe sportive soutenue par IMAGIGO
Juan Manuel Toro Lara
Avec persévérance, j’ai complété un Ironman, cinq demi-Ironman, des marathons, un ultramarathon et quelques autres courses en sentier.
Les épreuves longues et difficiles m’apprennent à redéfinir ma vie au quotidien, mes pensées et à défier mes propres limites. » Tout est possible avec un peu de détermination, un désir de s’améliorer et des objectifs clairs.
Pour en savoir plus sur Juan
Suite à des problèmes de santé, Juan a décidé de changer sa vie. Avant d’arriver au Canada, Juan était un jeune fou et sportif qui comme plusieurs d’entre vous, pratiquait durant sa jeunesse plusieurs sports. Des évènements majeurs ont fait en sorte que le sport a pris un deuxième plan dans sa vie lorsqu’il a été menacé de mort et a dû fuir son pays pour se réfugier au Canada. Sa santé mentale et sa santé physique ont été lourdement affectées. La situation a empiré d’une année à l’autre. Rien n’allait bien. Il fallait se prendre en main. En 2012, son médecin de famille lui a démontré que sa santé était affectée et qu’il devait prendre des décisions. À l’époque, Juan prenait des médicaments « à vie » et avait 50 livres de trop. Son médecin lui a dit, tu es trop jeune pour prendre des médicaments à vie, tu as le choix de continuer à les prendre ou bien de les arrêter dès maintenant et faire des changements. Son médecin l’a encouragé à manger mieux et bouger plus. Juan a commencé à faire du vélo et même si au tout début c’était très décourageant, sa vie s’est transformée tranquillement. Juan nous raconte que ses débuts en vélo ont été très décevants, une journée il est sorti avec l’intention de compléter un trajet entre le centre-ville d’Edmundston et le jardin Botanique, un aller-retour d’environ 25 km au total. Lorsqu’il avait fait 5 km, il a dû faire demi-tour, car il craignait ne pas pouvoir se rendre à destination et revenir à la maison. Il avait honte de demander à sa conjointe de venir le chercher. Arrivée à la maison, il pleure à sanglots… ce fut le déclencheur. À partir de ce moment, tout a changé. Sa conjointe l’a toujours encouragé et orienté dans ce changement. Il faut de la volonté pour cheminer, mais le soutien de la famille ou d’un professionnel, joue un rôle majeur dans l’avancement vers une nouvelle vie. Juan a décidé de bouger. Il s’est mis à mieux manger et a arrêté de fumer. Il a participé 3 fois au Tour de l’espoir et a complété de nombreuses compétitions en course à pied. Les changements au niveau de sa santé mentale et physique étaient évidents. En mai 2015, voilà qu’il écrivait le message suivant sur sa page Facebook : « Une transition qui se construit depuis les derniers 10 ans. J’ai vécu des changements majeurs dans ma vie…les prochains 10 ans seront probablement les plus palpitants que j’aurai vécu! Je me suis fixé des objectifs majeurs…pourquoi ne pas commencer par un Ironman? » Il a ensuite appris à nager. Aujourd’hui, avec recul il nous dit : « Avec persévérance, j’ai complété un Ironman, cinq demi-Ironman, des marathons, un ultramarathon et quelques autres courses en sentier. Les épreuves longues et difficiles m’apprennent à redéfinir ma vie au quotidien, mes pensées et à défier mes propres limites. » Tout est possible avec un peu de détermination, un désir de s’améliorer et des objectifs clairs.
Carole Fournier
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Dominic Jalbert
À travers la nage, Dominic a appris à se fixer des objectifs, à se discipliner et à se surpasser, peu importe où il se trouve.
Après avoir perdu un proche il y a quelques mois, Dominic a décidé d’entreprendre ses premiers pas vers son rêve de terminer un IronMan et compte maintenant y parvenir en augmentant son volume d’entrainement chaque année.
Pour en savoir plus sur Dominic
Dominic a débuté la natation en sixième année alors qu’un de ses amis pratiquait ce sport et lui en parlait beaucoup à l’école. Il n’a jamais aimé nager avant qu’il commence la compétition quelques années plus tard. À travers la nage, Dominic a appris à se fixer des objectifs, à se discipliner et à se surpasser, peu importe où il se trouve. C’est pourquoi il nage encore aujourd’hui. Il a aussi développé une passion envers les sports d’endurance. Il a participé aux Jeux de l’Acadie en course à pied à quelques reprises et a mis en place un comité de cross-country à son école. Tout cela l’a fait contempler le triathlon pendant longtemps et il a alors fait l’achat de son premier vélo de route l’année dernière et a complété deux triathlons depuis. Après avoir perdu un proche il y a quelques mois, Dominic a décidé d’entreprendre ses premiers pas vers son rêve de terminer un IronMan et compte maintenant y parvenir en augmentant son volume d’entrainement chaque année. Avec de la détermination et un peu de discipline, tout est possible. Surveillez son parcours et son évolution au cours de la prochaine année. Merci Dominic de faire partie des Ambassadeurs Imagigo.
Denise Landry Nadeau
Le sport a toujours été pour moi une source de bien-être et de maintien de santé!
Le tout a commencé simplement : Un pas à la fois!
Après réflexion, un pas à la fois peut vous amener loin! Jour après jour, avec de la détermination, de la discipline, et un GRAND sourire, on peut atteindre des sommets que jamais nous avons pu imaginer!
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Le tout a commencé simplement : Un pas à la fois!
Lors des matches de soccer de mon fils, une piste de course entourait le terrain. Avec mon amie Louise, nous marchions autours de la piste. Puis, nous avons décidé de prendre des marches en ville ou nous avons commencé à courir à tous les deux poteaux de téléphone.
Ce qui devait arriver arriva! Je me suis inscrite à ma toute première course de 10Km à Perth-Andover et j’ai eu la piqûre! Ensuite s’est enchainé ce je croyais à l’époque, l’ultime dépassement de soi : Le marathon!
Mon amour de la course et, mes convictions sociales, mon apporté à joindre ces deux passions ensemble en 2008 : J’ai formé une équipe de coureurs de longue distance appelé « Forest Gump ». Nous avons pris part de 2008 à 2010 à la course à relais Bruce Hadley. Une course à relais de 30 heures consécutives : Edmundston à Bathurst au Nouveau-Brunswick sur une distance de plus de 250Km. Le but était de promouvoir la santé et d’amasser des fonds afin de fournir des défibrillateurs pour tous les édifices publics dans la province.
L’année suivante, je cherchais un nouveau défi qui surpasserait le marathon. Je l’ai trouvé : Le Goofy Run à Disney World. Un 5km, suivit d’un demi-marathon et pour finir, un marathon … et tout cela, dans un weekend! J’ai participé à cette course pendant 5 ans d’affilée. Les deux dernières années, la Goofy Run s’est transformé en Doopy Challenge : on a jouté un 10Km entre le 5Km et le demi-marathon.
Au printemps 2012, je m’inscris, avec mes amies, au triathlon de Hampton au Nouveau-Brunswick. C’est une course pour les femmes seulement et de courte distance.
Encore une fois, mon implication sociale m’appelle! Je m’inscris au Tour de l’Espoir de la fondation de l’Hôpital Georges-Dumont. L’objectif : Sensibiliser les jeunes à l’activité physique et amasser des fonds pour la fondation et combattre le cancer. Nous devons, pendant une semaine, sur une distance de plus de 650km, parcourir le Nouveau-Brunswick.
Fort de mon expérience au Tour de l’Espoir, l’année suivante, en 2012, je prenais part à la première boucle Pierre-Lavoie à Québec. Depuis lors, avec mon conjoint, j’ai participai à chacune des éditions.
En 2012, pour mes implications sociales et sportives, je reçois des mains du premier ministre du Nouveau-Brunswick, la médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II. Cette distinction m’est accordée pour, entre autre, mon implication à l’organisation des Jeux d’Acadie à Edmundston, membre fondateur du club de course Sports-Experts, mon bénévolat auprès divers organismes comme le relais pour la vie, la ballade des jouets pour les enfants hospitalisés et la fondation des maladies du cœur.
Sans délaissé mon premier amour, la course, je m’inscris de plus en plus dans des compétitions de triathlon. Presqu’ilse au Maine, puis un premier demi-Ironman à St-Andrews au Nouveau-Brunswick, puis en août 2014, avec mes amis, nous nous inscrivons au triathlon ultime : LE IRONMAN. C’est à l’été 2015, à l’âge de 54 ans, à Lake Placid, que j’atteins l’un de mes rêves! L’objectif est simple : Survivre la nage de 3,8km, puis pédaler les 180 km à vélo et finalement, terminer avec un marathon à la course à pied, soit 42,2km!
Et ca continue….demi-Esprit à Montréal, Demi-IronMan du Mont-Tremblant, Challenge de St-Andrews.
Je ne me suis jamais soucié de mes performances. Alors, c’est avec étonnement et surprise que Triathlon Canada m’annonçait que je m’étais qualifié dans mon groupe d’âge pour représenter le Canada au 2017 ITU Multisport World Championship à Penticton en Colombie-Britannique!
Au demi-IronMan de la Colombie, à Cartagène, en décembre 2016, je me hisse au deuxième rang de ma catégorie d’âge et j’obtient la distinction d’IRONMAN All World Athlete. Ce statut reconnaît que mon rang mondial, se situe dans les Top 5% des femmes du groupe d’âge de 55 à 60 ans!
En août 2017, après une année d’entrainement, j’ai participé avec fierté à Penticton aux championnats mondiaux en tant que représentante de ma ville et de mon pays! Quel honneur! Plusieurs athlètes qui ont pris part à cette compétition ont déjà été membres des équipes olympiques de leur pays respectifs. Parmi 47 athlètes dans mon groupe d’âge, j’ai terminé 33ième. Une performance égale à mes attentes.
Pour la deuxième année consécutive, j’ai réussi à obtenir un laissez-passer aux championnats mondiaux. Cette fois-ci, ils auront lieux au Danemark à Fyn à l’été 2018 et je compte y participer.
Le sport a toujours été pour moi une source de bien-être et de maintien de santé!
Ce n’est qu’en faisant un retour sur mes dix dernières années d’activités que je réalise à quel point, à l’âge de 56 ans, que j’ai relevé plusieurs défis et atteint mes buts et objectifs.
Après réflexion, un pas à la fois peut vous amenez loin! Jour après jour, avec de la détermination, de la discipline, et un GRAND sourire, on peut atteindre des sommets que jamais nous avons pu imaginer!
Michel Nadeau
Après mon passage à l’université, je peux dire que j’ai été une personne sédentaire. Toujours pleins d’excuses pour ne pas prendre ma santé en main : le travail, membres de conseils d’administration, les enfants et leurs activités, occupaient tout mon temps.
À l’automne 2008, à l’âge de 47 ans, après un examen de santé annuel, mon médecin m’informait que les résultats de mes tests de sang n’étaient pas très beaux! Les indicateurs, tels que le niveau de cholestérol dans mon sang, étaient élevés.
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Après un examen de santé ..Je dois faire un choix.
Mes Deux options :
a) Commencer à faire de l’exercice et surveiller mon alimentation ou
b) traiter ma situation avec des médicaments, probablement à vie.
En revenant chez moi, je trouvais que ma situation n’était pas différente que bien d’autres personnes de mon âge et que j’étais rendu là. Au souper, avec mon épouse, ma fille et mon gars, j’ai partagé mon état de santé.
Dison que je ne m’attendais pas à une telle réception!
De la part de ma fille et de mon gars :
« Pa! Juste à débarquer du sofa et faire comme Man! Fais du Sport et de l’Exercice!»
Il faut dire que dans notre famille, j’étais l’exception. Tous les autres membres sont des athlètes.
Denise, mon épouse, avait le sourire aux lèvres et ne disait rien. Ce n’était pas la première fois qu’elle tentait de m’inciter à faire de l’exercice. La vérité sort de la bouche des enfants!
Puisque Denise enseignait le Spinning au Energym, j’ai donc décidé de m’inscrire à ses cours.
Je me disais : « Pfff, pédaler sur un vélo stationnaire – 45 minutes … FACILE!!! »
C’est ce que mon cerveau de 18 ans me disait.
Après 10 minutes, à bout de souffle et trempé comme un canard, j’étais prêt à abandonner!
J’ai réduit la tension du vélo au minimum et continué le cours en faisant semblant de pédaler à fond!
Après le cours, j’ai dû « grimper » les 18 marches d’escalier qui mène du sous-sol au premier étage. Un pas à la fois, c’est le cas de le dire! Arriver dans la voiture (15 minutes plus tard)…
j’étais prêt à jeter la serviette. J’avais en tête une multitude d’excuses habituelles.
Mon corps n’est juste pas fait pour faire de l’exercice…. Si je continue, je vais me blesser, c’est sur!
C’est là que le support de la famille et les amis entre en ligne de compte. Il faut se donner du temps. Il ne faut pas penser qu’après 1 semaine, 1 mois qu’il n’y aura plus de douleurs! Il faut persévérer.
Pour ma part, ça m’a pris environ 4 mois (3 cours par semaine) avant de pouvoir monter les 18 marches du gym sans avoir à tenir la rampe.
En avril 2009, j’ai débuté à courir. En 1 an, j’avais perdu environ 25 livres et lors de mon examen de santé annuel, tous les indicateurs étaient normaux.
Depuis environ 3 ans, je participe dans des triathlons. En décembre 2016, j’ai participé dans mon tout premier demi-IronMan.
Je suis partie de loin et je peux affirmer que je suis plus en forme maintenant qu’à l’âge de 18 ans. Je me sens mieux et je profite de la vie!
Pour moi, mon objectif premier est la santé. C’est ma motivation d’investir mon temps dans l’exercice et le sport.
Julie Michaud
Je bouge depuis plusieurs années, mais mon sport je l’ai découvert en 2013. Je voyais la trentaine arriver et je sentais le besoin de prendre soin de moi un peu plus sérieusement.
À l’époque, je m’entrainais quelques fois par semaine. J’ai décidé de débuter la course à pieds au printemps 2013. Au début, je courais seule, mais je voulais augmenter mes distances et me familiariser avec ce sport. Je me suis inscrite au groupe d’introduction à la course chez Digifit. Mon amie Tracy est venue avec moi. Le moment où j’ai réussi à faire 5 km, la passion s’est installée en moi. En plus d’avoir trouvé le sport que j’adorais, je pouvais le pratiquer avec la meilleure partenaire qui soit. En mai 2013, nous voilà inscrites au Tour de la pointe de Rivière du Loup pour notre premier 5K officiel. Nous avons fait plusieurs autres courses ensemble par la suite, incluant quelques Spartan Race. Nous courons encore ensemble aujourd’hui
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En 2014, je me suis inscrite à mon premier 10 km. Belle course ! Luc et les enfants ont fait leur première course ce jour-là. J’étais tellement fière d’eux. C’est devenu un sport familial chez nous dès cet instant. Nous planifions la majorité de nos vacances familiales autour des événements de courses et la plupart du temps chacun y est inscrit. Il y a souvent des courtes distances pour les enfants.
Je sentais le besoin de courir une plus longue distance, c’est alors que j’ai décidé de m’entrainer pour mon premier demi marathon de Brayon cours en 2015. J’ai appris ce que c’était la discipline et l’entrainement. J’ai fait une super belle course, j’ai même monté sur le podium ce jour-là. Mon but n’est pas de courir pour les podiums, mais c’est toujours gratifiant et motivant quand ça arrive. J’ai eu des belles surprises pour récompenser mes efforts plusieurs fois.
Quelques semaines plus tard, j’ai fait mon 2e demi marathon, accompagné de Luc. J’ai continué à courir des longues distances. Comme la passion ne faisait que grandir, un petit brin de folie apparu…
Le goût de faire un marathon !
C’était pour moi un beau défi à relever. Ça voulait dire beaucoup plus de temps de préparation, d’entrainement, de détermination et de sacrifices. Du même coup, j’ai inscrit mon mari à son insu… ce qui était un cadeau empoisonné au départ, devin toute qu’une fierté au moment venu ! J’avais le partenaire idéal pour vivre la préparation avec moi, parce que faire une longue sortie, ça va tellement plus vite avec lui ! C’est en octobre 2016 que nous avons franchit la ligne d’arrivée de notre premier marathon à Rimouski. Quelle sensation !
À ce jour, j’ai fait près de 30 courses comprenant des 5 km, 10 km, 3 Spartan Race, 2 participations à la course : Je bouge, j’apprends- 60 km de Grand-Sault à Edmundston, celle de 2017 que j’ai couru au complet. Je compte aussi 8 demis marathons.
J’ai fait 4 marathons, le premier à Rimouski en 2016. Suite à ma belle expérience, j’ai eu le goût de repousser mes limites en me lançant comme objectif de faire 3 marathons en 2017. Ce que j’ai réussi à faire avec beaucoup de temps de préparation, d’entrainement, de kilomètres et bien du temps pour réfléchir. Mon deuxième marathon était à Fredericton, mon troisième était celui de Lévis-Québec et le quatrième (mon préféré à date), le Rock and Roll Marathon de Las Vegas avec Luc. Nous en avons profité pour célébrer nos 10 ans de mariage en courant !
Je m’entraine présentement pour mon cinquième marathon cet automne à Vancouver.
Ce n’est pas toujours facile de trouver du temps pour s’entrainer avec des jeunes enfants… C’est vrai, il faut de l’organisation, mais il y a toujours un moyen. J’ai promené ma fille souvent dans la poussette en courant pendant qu’elle faisait sa sieste. J’amène mon garçon courir avec moi à la piste de course ou au Pavillon sportif. J’utilise un tapis roulant à la maison quand c’est difficile de me rendre à l’extérieur.
Durant l’été, étant donné que je suis en vacances avec les enfants, je dois me lever tôt pendant que toute la famille dort pour aller courir. J’ai également la chance d’avoir des bonnes personnes autour de moi qui croient en moi et mes petites folies. Ils m’aident dans l’atteinte de mes objectifs.
C’est plus facile pour moi de trouver des moyens de m’entrainer que des excuses.
Tout simplement parce que c’est important !
Pour moi sortir courir, ça veut dire : prendre du temps pour moi, me ressourcer, faire le vide et le plein en même temps, profiter du moment présent, apprécier ce qui m’entoure, pousser mes limites plus loin, être reconnaissante d’avoir la santé pour le faire et rêver grand !! La course à pieds me permet de rencontrer des gens inspirants, connaitre des nouveaux amis et avoir la chance de partager la route avec eux !
C’est devenu rapidement pour moi un besoin, un nécessité. Je n’ai pas à me poser la question, beau temps ou mauvais temps, j’y vais ! Ce n’est pas toujours facile, les coureurs font face à bien des défis, des blessures, des moins bonnes courses, mais la volonté et l’amour pour nos espadrilles nous poussent à continuer et à nous surpasser !
Finalement, mes souliers me font voyager et voir du pays.
Il n’est jamais trop tard pour s’occuper de son bien-être et sa santé !
Après tout, prendre soin de soi, c’est un cadeau pour la vie !
Et le bon moment, bien… c’est maintenant !
Julie
Philippe Levesque
Le Centre Mieux-Être Imagigo souhaite vous présenter Philippe Levesque, qui depuis la dernière année, fait partie de la belle famille Imagigo.
Philippe a toujours été sportif. Comme plusieurs enfants, il a essayé plusieurs sports comme le ski, le soccer et la danse.
Pour en savoir plus sur Philippe
Après plusieurs années à essayer de trouver le sport qui le faisait vibrer, il est tombé en amour avec la natation qu’il pratique intensément depuis les 7 dernières années. Chaque semaine, il passe plusieurs heures à la piscine pour se perfectionner.
Comme si la natation n’était pas suffisante, Philippe a débuté la course, le vélo et depuis 1 an il réussit très bien dans un nouveau sport qui combine ses 3 sports préférés, le triathlon.
Cet été, Philippe est inscrit au triathlon de Pohénégamook et prévoit faire quelques événements qui l’apporteront vers son objectif, une distance Demi-Ironman. Bon succès, Philippe, nous sommes chanceux de t’avoir comme Ambassadeur Imagigo.